Améliorer la prise en charge des soins non programmés

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Contexte territorial

Sur le territoire de la CPTS, 32,3% des passages aux urgences ne débouchent pas sur une hospitalisation, contre une moyenne nationale de 22,2%. En effet, une part de ces passages relèvent d’une consultation en ambulatoire.

Objectifs de l’action

Améliorer l’offre de soins non programmés, afin d’éviter un renoncement aux soins ou un passage au SAU (Service d’Accueil des Urgences) non justifié.

Déploiement de l’action

  • Contacter des professionnels de santé souhaitant participer aux soins non programmés et voir avec eux pour libérer des créneaux de consultation, qui seront compensés financièrement.
  • Faciliter les échanges entre les différents acteurs, en déployant l’utilisation d’outils sécurisés. Ainsi, le choix de la CPTS s’est porté sur l’outil de coordination Inzee.Care.
  • Participation au SAS (Service d’Accès aux Soins) : depuis janvier 2021, dans le cadre du Pacte de refondation des urgences, le Finistère est l’un des territoires pilotes pour l’expérimentation du SAS pour apporter une réponse à toute demande de soins non programmés.
  • Mise en place d’un protocole de réorientation des patients des urgences.
  • Définir les soins non programmés par profession :
    • Par exemple, pour les kinésithérapeutes : respiratoire VPPB (Vertige Paroxystique Positionnel Bénin), entorses, lombalgies, autre problème aigu.
    • Par exemple, pour les IDEL : injections, perfusions, bilan sanguin, pansements simples ou complexes, vaccination etc.

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